« Lift ça se vit et cela ne se raconte pas» ! Ah bon mais pourquoi ?
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Parce que la vue sur le port de Marseille depuis le palais du Pharo est aussi faite de bruits, d’une lumière envahissante et du grand large en réconfort,
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Parce que l’enthousiasme légèrement intimidé de l’équipe bénévole à l’honneur sur la scène en clôture de l’évenement était juste là, pas trop poussé,
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Parce que d’autres savent dire les installations intrigantes, étonnantes de Lift Expérience,
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Parce que les présentations qui donnent envie d’envisager le monde de façon un peu « positive » ou au moins de s’envisager comme moins « spectateur » et plus comme un des artisans possibles de micro-changements étaient tellement incarnées qu’il faudrait d’abord, souvent, décrire l’enthousiasme et l’énergie de leurs porteurs,
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Parce que les ateliers parfois un peu « au débotté » étaient porteurs de jolies rencontres (mention spéciale à l’étudiant de 20 ans qui débarque de Paris en short de volley et nous sert une synthèse impeccable d’un échange assez décousu..)
Ceci dit il reste quoi quelques semaines plus tard ??
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Une veille sédimentée sur un monde, hyper fragmenté, pas plus pacifique, pas moins violent mais maillé de forces en mouvement rendues plus visibles et accessibles via les réseaux,
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Une mise en perspective de « tendances », avec un énorme travail de défrichage, de présentations et de restitutions fait par les co-organisateurs..
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Quelques questions essentielles : autour du passage à l’échelle, des libertés individuelles, de la réalité des accès, des modes d’appropriation de l’innovation sociale, du sens de nos actions, individuelles et collectives, connectées ou non..
Pour retrouver à la fois des comptes-rendus, des analyses, les projets présentés, une petite agrégation.
Merci à tous ceux qui ont su, aussi bien à chaud qu’avec un peu de recul, rendre compte de cette jolie bouffée d’envies partagées (Hubert Guillaud, Pierre Métivier, Nicolas Frespech, Jean-Luis Fréchin et les autres!).